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Vendredi, 18 Nov 2022

Le Premier ministre Nicolae-Ionel Ciucă a visité le point de passage frontalier avec l'Ukraine – Pont sur Tisa

La conférence de presse tenue par le Premier ministre Nicolae-Ionel Ciucă après avoir visité le point de passage frontalier avec l'Ukraine - Pont sur Tisa

 

Nicolae-Ionel Ciucă : Bonjour !

Monsieur le Ministre,

Monsieur le Président du Conseil départemental,

Messieurs les représentants des autorités locales,

Mesdames et Messieurs,

Je suis très heureux que nous ayons pu effectuer cette visite de travail dans le département de Maramureș. Nous avons continué, ce matin, avec la visite de l'objectif de Runcu. Il s'agit du barrage qui a commencé il y a de nombreuses années, en 1987 ; il est achevé à environ 90%, les travaux en cours ont été arrêtés faute de financement. Il est clair qu'il y a un besoin de coordination au niveau d'au moins trois ministères, afin, qu`une solution puisse être trouvée en collaboration les autorités locales pour mener à bien ces travaux, qui assureront l'eau potable à environ 300.000 habitants du département de Maramureș et, bien sûr, la composante énergétique pourra également être utilisée, puisqu'il s'agit également d'une puissance installée d'environ 14 mégawatts à la centrale hydroélectrique.

Ensuite, nous sommes allés à Câmpulung la Tisa où nous avons visité une gare CF qui a une voie ferrée à large voie et qui n'a pas été utilisée depuis 15 ans. Dans le contexte actuel, il a également été possible, grâce à un effort des autorités locales et de la Société nationale des chemins de fer, de réussir à la remettreen service, et par la suite, entre le 1er décembre et le 15 décembre, elle sera achevée et pourra reprendre le service voyageurs et le trafic et le trafic de marchandises sur cette ligne. Il s'agit d'une ligne ferroviaire qui assurera la liaison entre la Roumanie et l'Ukraine et qui est très bénéfique, tant en termes de poursuite des activités bilatérales, des échanges économiques au niveau régional, mais aussi au niveau national, dans l'effort que nous déployons pour soutenir les autorités ukrainiennes, dans le contexte actuel dans lequel elles doivent faire face à l'agression des forces armées de la Fédération de Russie.

De plus, nous sommes arrivés ici à cet objectif qui ne répond pas aux exigences de trafic. C'est un pont en bois qui assure la circulation sur un seul fil. C'est pourquoi le projet qui a été entrepris au niveau des autorités locales est très important et je me réjouis qu'il y ait eu cette ouverture, pour que la décentralisation puisse se réaliser et, concrètement, la création d'un partenariat entre les autorités locales et la Compagnie Nationale des Routes. C'est un modèle qui, une fois terminé, pourra probablement être utilisé dans d'autres démarches de ce genre. Ce qui est également réjouissant, c'est qu`il ne s`agit pas seulement de la construction de l'infrastructure du pont, mais de l'ensemble du projet, qui comprend également les éléments techniques du point de passage frontalier avec les paramètres requis, ce qui signifie les exigences, les normes fixées pour l'espace Schengen.

 

Ce que je tiens à souligner, c'est le fait que j'ai pu constater sur place les inquiétudes, les craintes et les préoccupations des collectivités locales vis-à-vis des grands projets, dans un contexte qui assure notre financement, compte tenu du fait que nous continuons à bénéficier des fonds européens, tant sur les fonds de cohésion, que ceux du PNRR et, en même temps, la part des fonds du budget de l'État, qui doit être très bien coordonnée, afin que nous puissions être le plus efficace possible dans les projets nous développons. Cette coordination entre les autorités locales et centrales est encore nécessaire pour la mise en œuvre de projets qui ne font que soutenir les citoyens, dans le développement économique du département, de la région. Il est clair que tant qu'on s'est fixé pour objectif d'accompagner une économie en développement, on a besoin d'investissements, l'investissement a besoin d'infrastructures, c'est ce que doivnt continuer à faire en bilatéral, collectivités territoriales-autorités gouvernementales. Après cette activité, j'irai au Mémorial de la Douleur et au Cimetière des Pauvres, afin qu'avec l'équipe gouvernementale, nous puissions nous recueillir à la mémoire de ceux qui ont perdu la vie dans ces prisons d'un régime de triste mémoire, où ceux qui ont vraiment contribué à la modernisation de la Roumanie tout au long de l'histoire ont perdu la vie. Je vous remercie!

Journaliste : Monsieur le Premier ministre, concernant les pensions militaires, la Commission européenne continue de soutenir le fait qu'elles soient incluses dans la réforme des pensions spéciales. Dites-nous quel niveau les négociations ont atteint et au sujet du pourcentage de 9,4%  que Bruxelles a offert la permission de dépasser ?

Organisateur: Nous avons-nous aussi une demande, ne vous fâchez pas. C'est une conférence de presse d'intérêt local, parlons d'intérêt local. Nous sommes allés à l'aéroport hier, on n`a pas pu poser de questions. Si vous êtes venu de Bucarest, Monsieur le Premier ministre, eux de Cluj, pour parler des retraites, nous avons raté notre objectif aujourd'hui. Ayons un peu de respect.

Nicolae-Ionel Ciucă : Donnez-moi la permission. C'est une question adressée à laquelle je réponds, je vous réponds aussi, ce n'est pas un problème. Nous avons le temps de répondre à chacun.

Journaliste : /.../

Nicolae-Ionel Ciucă : Alors, revenons. Lorsque j'ai tenu la conférence de presse lors de ma visite à Bruxelles et suite aux rencontres que j'ai eues avec des responsables européens, dont la présidente de la Commission européenne, j'ai fait savoir que l'un des sujets abordés a été que e plafond de 9,4 % du PIB pour les retraites puisse être remplacé par un autre indicateur, un indicateur de discipline financière, qui, en pratique, est prévu dans le PNRR, étant le jalon qui nous oblige à mener à bien la réforme des retraites et, en même temps, de discuter aussi d'un autre jalon qui nous oblige à mener à bien la réforme salariale. En tant que tel, c'est ce que représente ce pourcentage de 9,4 %. En ce qui concerne les pensions militaires, nous avons également discuté de ce sujet, y compris avec les représentants de la Commission, qui étaient en visite technique à Bucarest la semaine dernière ou il y a deux semaines, et nous avons discuté du rapport présenté par la Banque mondiale, dans lequel il est écrit très clairement que les pensions militaires n'appartiennent pas au chapitre des pensions spéciales et appartiennent au chapitre des pensions de service. Les pensions militaires ont été modifiées par la loi et sont basées sur les cotisations, et à notre niveau nous continuons à soutenir la réforme du système de retraite basé sur les cotisations et nous continuons à nous entendre très clairement sur les démarches que nous allons entreprendre avec la Commission européenne, conformément aux principes suivis par les autres États de l'Union européenne en matière de pensions militaires, selon lesquels il ne s'agit pas de pensions spéciales, mais de pensions de service.

Journaliste : Monsieur le Premier ministre, je voudrais porter à votre attention une situation qui se passe spécialement ici, ici, à Maramureș, concernant les réfugiés. L'argent alloué par le gouvernement, les 70 lei/jour dont 50 lei pour le logement et 20 lei pour la nourriture vont dans les poches des faux hommes d`affaires. Les gens sont logés trois, quatre, cinq, dix dans un appartement, ils ne reçoivent pas d'argent, l'argent n'est pas taxé, le locataire le prend, le dépense et les réfugiés se promènent en mendiant de la nourriture aux associations filantropiques. L'association "Parents Sauveurs", par exemple, de Baia Mare est la seule à donner cet argent entièrement aux réfugiés. Et maintenant je vous demande : pensez-vous qu'il faille changer le cadre législatif, parce qu'au début, il y avait beaucoup de monde en transit et ça allait. Les réfugiés ne devraient-ils pas recevoir l'argent eux-mêmes, car ils ont déjà des documents, ils sont installés ici, un autre système devrait être créé ? Merci.

Nicolae-Ionel Ciucă : Cette réglementation est prévue dans l'ordonnance d'urgence qui a été publiée au niveau du gouvernement lorsque la crise en Ukraine a commencé.

D'après le contenu de l'ordonnance d'urgence, si je me souviens bien, il ressort très clairement que la responsabilité de tout ce qui entre dans la gestion de cette affaire incombe aux autorités locales, qui ont également la responsabilité de vérifier comment ces paiements sont effectués. Concernant la réponse à votre question, il faut qu'en ce moment, probablement en fonction de ce qui sera établi au niveau du Gouvernement, avec les institutions et autorités responsables, nous analysions ce cadre légal et ayez toute confiance qu`on fera faire des vérifications et les changements nécessaires pour nous adapter à la situation nouvellement créée. Il est dommage que dans de telles situations, la souffrance de certaines personnes soit utilisée pour des avantages immérités. Encore une fois, c'est dommage.

Journaliste : Si vous me permettez une question, compte tenu de la réouverture du trafic ferroviaire voyageurs en principe avec l'Ukraine, il y a un gros problème avec la poursuite des voyages en train. La CFR a récemment annulé de nombreux trains. Il n'y a plus de train interrégional qui relie Sighet aux grandes villes. Annulé /.../ de Sighet-Timișoara. Les trains interrégionaux de Sighet-Bucarest ont été annulés, /.../ il faut 14 heures de Sighet à Bucarest. Il n'y a que 2 trains régionaux qui relient Sighet à Cluj, des distances de 233 kilomètres par chemin de fer, en 7 heures et 5 minutes en raison des temps d'attente un peu intentionnels plutôt que de privilégier les bus. Nous avons perdu un train interrégional qui reliait Sighet à Budapest. Y a-t-il une chance, puisque le trafic de passagers est rouvert, c'est-à-dire que les voyageurs d'Ukraine qui viennent avec des trains modernes mais d`ici ils n'ont rien à repartir, y a-t-il une chance de faire bouger les choses pour que la CFR rétablisse le train interrégional  sur ces liaisons ? Depuis décembre, beaucoup d'autres ont été annulés. Nicolae-Ionel Ciucă : D'après ce que j'ai compris de la visite que j'ai faite à la gare, il est très clair qu'il y a un problème d'infrastructure au niveau des chemins de fer sur cette régionale. On peut entrer jusqu'à Câmpulung à Tisa, avec un tonnage de 1. 500 tonne, si je ne me trompe pas, plus tard le tonnage sera réduit à 500 tonnes afin de pouvoir utiliser les lignes de chemin de fer de  l'intérieur du pays, ce qui n'est pas ce dont nous avons besoin en ce moment. C'est pourquoi, avec les représentants du Ministère des Transports, il faudra revoir et reprioriser tout ce qui signifie la connexion et le transport par rail dans la région, en tenant compte des intentions et des objectifs que nous avons proposés au niveau national niveau. Je ne peux pas vous dire que cette affaire sera réglée, à partir de décembre ou janvier. Journaliste : Depuis décembre, avec le nouveau guide des trains, beaucoup d'autres trains sont supprimés, c'est-à-dire qu'il n'y a que deux trains par jour qui partent de Sighet, vous comprenez ? S`il y a des voyageurs qui viennent, ils n'ont aucune possibilité de quitter Sighet pour aller ailleurs en trai./.../

 Nicolae-Ionel Ciucă : Je vérifierai auprès du Ministère des Transports et je communiquerai quelle est la situation et quelle serait la solution, car, peu importe comment, nous avons besoin d'une solution en ce moment. On ne peut évoquer la reprise des capacités de transport sans réfléchir à la manière dont elles s'articulent avec le reste du territoire. Journaliste : Le Conseil fiscal montre que vous avez sacrifié des investissements pour atteindre l'objectif de déficit budgétaire. Comment commentez-vous ?

Nicolae-Ionel Ciucă : Nous n'avons pas sacrifié les investissements. Nous avons eu une analyse mensuelle des investissements au niveau du gouvernement. Vous savez très bien qu'il y a eu cette crise de la hausse des prix des matériaux et à ce moment-là, les investissements se sont quelque peu arrêtés parce qu'ils n'étaient pas dans les limites du contrat, c'est pourquoi sont venues les deux ordonnances qui ont modifié le prix et compensé quelque peu l'augmentation des prix des matériaux et ce n'est que plus tard que les investissements ont repris. Ce que je peux vous dire en ce moment, sur la base de la dernière analyse que j'ai faite cette semaine, c'est qu'en termes d'investissements, en valeur nominale par rapport à l'année dernière nous avons un excédent de 15 %. C'est tout ce que nous avons réussi jusqu'à présent.

Il n'y avait donc absolument aucune intention de sacrifier des investissements pour nous encadrer dans le déficit.

 Journaliste : Dans le contexte où la Commission européenne nous dit qu'il faut rester à 9,4% du PIB, le pourcentage maximum des dépenses de retraite, je veux vous demander quelles augmentations de pensions sont encore possibles et aussi si vous pouvez répondre à cette question : la Commission européenne soutient cependant que les pensions militaires sont des pensions spéciales. Qui est-ce qui ment ?

Nicolae-Ionel Ciucă : Personne ne ment. J'ai parlé d'un rapport, c'est un rapport de la Banque mondiale, c'est un état de fait que l'on retrouve dans chacun des pays de l'Union européenne. Donc non, il ne s'agit pas de mentir à quelqu'un. J'ai lu cette information, il s'agit d'une réponse que quelqu'un de la Commission européenne a donnée. Il ne fait aucun doute à ce stade qu'en tenant compte de ce plafond de 9,4 %, nous n'assurerons pas l'augmentation des pensions comme nous l'avons proposée au niveau de la coalition et du gouvernement.

Journaliste : Egalement, veuillez répondre à la première question - Quelles sont les augmentations de pension encore possibles ? Nicolae-Ionel Ciucă : Les augmentations de pension, dont nous avons parlé et dont nous continuons à parler, tombent dans cette enveloppe assurée par un pourcentage de 15 %. Je sais qu'il y a des discussions sur la façon dont cela sera appliqué, mais je veux que ce soit le plus clair possible. Je ne pense pas que ce soit un sujet pour s'engager dans une dispute politique. On a besoin d`une solution ici, une solution responsable liée à la façon dont nous fournissons aux gens un revenu accru afin de compenser l'impact, les effets que l'inflation provoque et cette solution doit être légale, une solution possible, une solution durable. Je ne pense pas que ni le Parti National Libéral ni le Parti Social-Démocrate sortent gagnants de cette polémique, de ce jeu d'énoncés. Nous ne sommes pas à la gouvernance pour trouver des solutions pour un électorat ou un autre. Nous y sommes pour trouver des solutions pour les citoyens roumains. Nous parlons d'une situation compliquée, une situation qui inquiète chacun de nous, alors nous devons réfléchir à tout ce que signifie la cohésion sociale et comment nous pouvons, dans ces moments-ci, montrer plus que jamais que nous sommes solidaires, que nous sommes en une unité au niveau national.

 Journaliste : Monsieur le Premier Ministre, si vous me le permettez, avec tant de contraintes budgétaires, le Gouvernement parviendra-t-il à sécuriser le financement à temps ? Si nous parlons toujours de ce fonds pour l'Ukraine, serez-vous en mesure de le financer à temps, afin que le fonds soit exécuté comme il est écrit dans le projet, en août 2024 ?

 Nicolae-Ionel Ciucă : Lorsque le projet a été approuvé, le financement a également été approuvé. En pleine corrélation avec la projection budgétaire pour l'année prochaine, je peux vous dire sans aucun problème qu'il y a de l'argent pour les investissements. De plus, ce projet est assuré, il est financé par des fonds européens, il n'y a donc aucun problème qu'il ne soit pas réalisé. Journaliste : Quand signerez-vous ou quand les deux contrats seront-ils signés : l'aérogare et le pont ?Car ils ne sont pas signés.

Nicolae-Ionel Ciucă : Au terminal, le contrat sera signé mercredi 22, et pour le pont il y a encore un arrêté de gouvernement en train de recevoir les avis pour une décision. Le chemin technique nous prendra au plus tard 2-3 semaines pour être approuvé et une fois l`arrêté d'expropriation approuvé, alors les travaux pourront commencer.

Bogdan-Ionel Ovidiu, président du Conseil départemental de Maramureș : Si vous me le permettez, je m'excuse, Monsieur le Premier ministre, le contrat de financement du pont sur la Tisza n'a pas été signé, car il n'est pas nécessaire à ce stade. Le bénéficiaire du contrat est CNAIR. Nous sommes le partenaire de mise en œuvre. Du coup, le CNAIR fait son plan sur les fonds européens dont il dispose. Il est pris sur POIM. Au moment où les gens du CNAIR décideront de signer, à ce moment-là ce sera signé. Jusqu'à présent, cela n'a pas été le cas. Au lieu de cela, nous avons l'onglet budgétaire du Ministère des Transports, sécurisé pour l'intégralité du financement.

Journaliste : Suite à la visite que vous avez faite au barrage, dites-nous comment les autorités départementales peuvent soutenir, pour qu'il soit achevé, sachant que les travaux durent depuis plus de /.../ ans.

Nicolae-Ionel Ciucă : Nous avons également discuté là-bas et nous avons également discuté avec les autorités locales. Le président m'a rendu visite il y a quelque temps, avec son équipe, avec les représentants du département de Maramureș, et nous avons discuté en détail du projet. Je savais de quoi il s'agissait. Pratiquement, le barrage de Runcu, avec dix autres barrages, fait partie d'un projet de barrages qui n'ont pas été achevés et puis, d'une part, il y a des aspects qui appartiennent au Ministère de l'Environnement, d'autre part, il y a des aspects qui appartiennent au Ministère de l'Énergie et la partie du financement qui est liée au Ministère des Investissements et des Projets européens apparaît également. A ce titre, j'ai discuté avec chacun des trois ministres et lorsque le ministre Boloș était à Bruxelles et que la question de ces barrages a été discutée à la DG Environnement, car ils ont aussi un impact sur la composante des sites naturels et il faut s'entendre sur une solution, afin que nous puissions les finaliser. À ce titre, nous sommes en négociation et en discussion avec des représentants de la Commission. Et ainsi, au moment où, de manière transparente et honnête, toutes les données seront analysées comme elles le sont dans la réalité, nous aurons définitivement une solution. C'est, de mon point de vue, une honte d'avoir ces barrages et de ne pas pouvoir les utiliser. Nous ne parlons pas seulement de la composante énergétique dont nous avons besoin, nous parlons d'énergie verte, nous parlons de beaucoup de mégawatts qui nous sont très nécessaires en cette période critique du point de vue énergétique. Nous discutons de l'équilibrage du système, poue lequel, nous le savons très bien, on n'a pas investi ces derniers temps ; il y a seulement 3 semaines, nous avons réussi à signer le premier contrat via Transelectrica et à allouer 400 millions d'argent à investir dans l'infrastructure énergétique. Ce sont les choses que nous avons en tête et malheureusement je ne peux pas annoncer pour l'instant que ça va arriver dans 2 mois ou 3 mois, je n'ai pas encore d'horizon temporel sur cette solution. Journaliste : Je veux vous poser une question sur une situation, à cause de la crise énergétique à laquelle sont confrontées de nombreuses institutions, en particulier celles de l'éducation et de la santé, elles n'ont pas d'argent pour payer leurs factures de services publics. Est-ce que vous envisagez de trouver une solution pour aider ces institutions ? Car, comme le disait très bien un classique de la vie : l'hiver non plus n'est pas comme l'été. Merci!

Nicolae-Ionel Ciucă : J'ai discuté de ce sujet avec les autorités locales. Pour moi personnellement, il est absolument incompréhensible que certains établissements d'enseignement ou d'autres établissements de service public aient reçu des factures qui dépassent de loin les normes de calcul basées sur les prix établis, et j'ai demandé à recevoir des copies des factures respectives au gouvernement, pour vérifier ces situations et en fonction des vérifications, nous voyons également quelle est la solution financière. Cette demande ne vient pas seulement du département de Maramureș, plusieurs autorités du pays ont soulevé la question de ces prix au niveau de ...

Journaliste : Les institutions ont reçu des sommations que le gaz sera coupé.

Nicolae-Ionel Ciucă : J'ai parlé avec les maires aujourd'hui et ils m'ont présenté la situation respective. On ne peut pas couper le gaz, car nous avons bien précisé que nous prenons toutes les mesures pour que l'année scolaire se déroule dans des conditions normales, avec les enfants à l'école, en banque, il n'y a aucune raison pour que l'année scolaire soit interrompu. Je vous remercie!



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